Love France (Aimer la France) ainsi que les Églises de France et du monde entier vous invitent à consacrer l'intégralité ou la partie d'un service religieux et/ou d'un événement ou d'une activité dans le cadre des célébrations du centenaire d'Eric Liddell !
Peut-être aimeriez-vous consacrer toute date/heure qui vous convienne pendant les jeux !
En ce mois de juillet, nous fêtons le 100e anniversaire depuis qu'Eric Liddell a sacrifié sa participation aux éliminatoires du 100 mètres de Paris en 1924 pour aller à l'église. Sa fidélité a été récompensée plus tard par une médaille d'or dans une autre course. L'histoire d'Eric a été immortalisée dans le film primé« Les chariots de feu ».
Aujourd'hui, lorsqu'on leur parle d'Eric Liddell, de nombreuses personnes, en particulier celles qui ont moins de 40 ans, sont susceptibles de répondre : « Eric qui » ?
Ce samedi 6 juillet, cela faisait 100 ans jour pour jour qu'Eric a renoncé à un rêve de longue date, celui de courir le 100 mètres aux Jeux olympiques de Paris en 1924. Il a choisi de le faire par obéissance à sa croyance que le dimanche était le sabbat - un jour de repos. Au lieu d'entrer sur la piste ce jour-là et de courir dans les séries du 100 mètres, il a prononcé un sermon à l'église écossaise de Paris.
5 jours plus tard, le 11 juillet 1924, Eric participe à la finale du 400 mètres et remporte l'or. Vous pouvez regarder cette course ici…
Cent ans plus tard, alors que les Jeux se déroulent également à Paris, il est possible de s'inspirer de l'histoire d'Eric Liddell, des valeurs qui ont guidé sa vie et de l'inspiration qui découle des décisions et des choix quotidiens qu'il a faits.
Eric était passionné par sa foi en Dieu, son sport, son travail et le fait de faire ce qui est juste. Il faisait preuve de compassion envers ses amis et ses adversaires. Il a fait preuve de la plus grande intégrité, même sous les pressions les plus fortes et dans les moments de grand danger.
Nous rendons hommage à sa vie, nous maintenons vivant l'esprit d'un homme qui, confronté à des choix, a préféré les principes au profit personnel, les dimanches sous les feux des projecteurs.